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BienPrêter : de plus en plus de signaux d’alerte

Tout le monde en parle, surtout ces dernières semaines avec leur grand coup de com' : une opération à 1 million d’euros de cadeaux, soit plus de 4 500 lots à distribuer sur 6 mois. Vu de l’extérieur, ça peut paraître engageant… mais quand on creuse un peu, l'image devient nettement moins reluisante.

🎭 Une direction pas si transparente

Le CEO Michael Martin détient 33 600 actions de BienPrêter. Mais il est aussi à la tête d’une autre société, Block Mountain Capital, qui détient… 462 200 actions de BienPrêter. Autrement dit, le contrôle de l'entreprise est bien plus concentré qu’il n’y paraît.

En mars 2025, la directrice générale Daisy Montaud démissionne, tout en gardant ses actions. Elle est remplacée par Romain Brioux, l’ex-directeur marketing… qui est toujours affiché comme directeur marketing sur leur propre site. Flou total sur la gouvernance.

Et ce n’est pas tout. Depuis 2022, BienPrêter opère sous la structure ULends, avec plusieurs établissements secondaires nommés “BienPrêter”… tous fermés entre 2017 et 2021. Pourquoi autant de changements juridiques et de montages complexes ? C’est rarement bon signe dans ce type d’activité.

📉 Une rentabilité… presque inexistante

- En 2022 : 626 000 € de chiffre d’affaires, mais seulement 16 100 € de bénéfices.

- En 2023 : 1,82 million € de CA, mais seulement 12 900 € de bénéfices.
➡️ Une marge nette catastrophique de 0,7%.

Ce n’est pas tout : les charges de personnel explosent, passant de 136 000 € en 2022 à 1,2 million € en 2023. Soit une multiplication par 9. Une hausse si brutale interroge : croissance subite ou embauche massive pour gonfler la machine marketing ?

🚩 Et pourtant… toujours "zéro défaut" ?

Officiellement, BienPrêter affiche 0 défaut depuis ses débuts. Mais ils précisent aussi noir sur blanc qu’ils ne sont responsables d’aucun prêt non remboursé. Autrement dit, en cas de problème : vous perdez, eux non.

Le vrai risque, c’est le scénario Ponzi déguisé :

- Les prêts anciens sont remboursés avec les nouveaux.

- Les sociétés emprunteuses sont artificiellement maintenues en vie.

- Jusqu’au jour où une seule tombe… et entraîne tout le reste dans un effet domino.

Et pendant ce temps, la plateforme n’a aucune obligation de garantie, aucun risque réel, aucun engagement légal sur les pertes. C’est vous, l’investisseur, qui encaissez le choc.


🎯 Mon objectif n’est pas de créer la panique, mais de vous alerter.
Je n’ai jamais parlé de BienPrêter jusqu’à présent, justement parce que ce genre de flou juridique, ce track record “trop parfait” et ces montages capitalistiques opaques me laissent un goût amer.

⚠️ Beaucoup de ceux qui vous vantent BienPrêter touchent en réalité une grosse commission d'affiliation. Certains sont même payés directement par la plateforme, sans jamais le préciser. Attention aux discours biaisés : quand l’argent parle, la transparence disparaît.

Faites preuve de discernement. Un rendement attractif ne vaut rien sans une structure solide, transparente et éthique derrière.

Voici la pieuvre des sociétés de BienPrêter

et le reste des documents 

 


 

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